Pour une Afrique sans coups d’État
Le Burkina Faso s’ajoute à la liste des pays africains où la prise de pouvoir par l’armée révèle une difficile réappropriation par les acteurs politiques et militaires de l’État de droit comme forme d’organisation de la société. C’est même la réalité de l’adhésion à la démocratie comme modalité de gouvernance qu’il faut interroger lorsque l’armée devient l’arbitre principal des tensions et conflits qui émergent de la vie commune.
Du Burkina Faso au Soudan en passant par le Mali, la Guinée et le Tchad, nous avons été...
Cliquez sur ce visuel pour accéder à la tribune d'Amadou Sadjo Barry, docteur en philosophie et chercheur en éthique des relations internationales ( Essai sur la fondation politique de la Guinée, éditions L’Harmattan) et Régis Hounkpè, analyste géopolitique et communicant politique, enseignant en géopolitique et relations internationales, publiée par Le Devoir, grand quotidien québécois.